Bonne année à toutes et à tous ! C’est la reprise chez les Marabouteurs.

En cette nouvelle année, nous pouvons dresser un petit bilan des difficultés que nous avons rencontré récemment…

Du côté des mécaniciens, après de longs questionnements par rapport à la base du robot et à la construction du bras, de nombreux montages et démontages, nous avons abouti à une base et un bras fonctionnels et satisfaisants. La difficulté actuelle, dans la construction du robot, c’est la pince. Beaucoup d’idées de modèle, d’ébauches ont été effectuées; cependant, les difficultés conceptuelles de la pince sont nombreuses : pince trop petite, pas adaptée à la forme des cônes à saisir, pas assez puissante, trop fine… Les difficultés sont également techniques : les impressions via notre imprimante 3D restent longues et parfois déficientes, on pense imprimer un modèle adapté et le rendu final ne permet pas d’atteindre l’objectif désiré. Deux équipes ont alors été formées afin de relancer cette phase, l’une travaillant sur la modélisation informatique de la pince pour ensuite l’imprimer, et l’autre travaillant sur un modèle “mécanique”, monté manuellement avec des pièces, afin de trouver au plus vite l’alternative qui nous permettra d’avancer sur ce point. La pince est un élément primordial pour le robot, notamment lors de la compétition qui nous attend : l’équipe s’y attèle avec la plus grande attention.

Concernant la partie plus humaine de notre club, nous avons également eu quelques problèmes en interne. Certains élèves perturbateurs ont été mis à l’écart, afin de poursuivre le projet dans les meilleures conditions.

Pendant cette séance bilan qui constate le léger relâchement des Marabouteurs avant les fêtes, Nicolaas, notre ingénieur Arm référent, nous a tenu un court discours afin de revenir sur nos réussites et points forts comme sur nos échecs et lacunes. Redynamisée, l’équipe par avec une dynamique nouvelle en ce début d’année, après avoir mis au point les tâches qu’il faut accomplir : continuer de développer le site, achever la pince, faire des sessions d’entraînement pour nos pilotes, développer notre stratégie de jeu, faire comprendre au robot le langage des centimètres afin de pouvoir le coder en distance, et non en “temps de fonctionnement du moteur”, lier correctement ce langage à la puissance du moteur, programmer le mode autonome du robot afin qu’il adopte de comportements automatisés dans des situations prévues, et enfin possiblement programmer des boutons correspondant à des hauteurs fixes…

PS : le business plan a été entièrement traduit en anglais aujourd’hui.